mardi, décembre 3, 2024
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Grâce à Dieu, l’UFDG a réussi à se débarrasser d’un incendiaire converti en “batoula” (Marouane)

Le diable a déménagé ailleurs!Il n’y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre, pire aveugle que celui qui refuse de voir. Il n’y a pas plus fou que celui qui nie l’évidence, prend ses désirs pour la réalité. Le déni, en soi, est une obsession à fuir, sans cesse, la réalité qui contrarie, frustre et tire de ses belles illusions. Apparemment, des compatriotes, des têtes fêlées, en mal de publicité, de reconnaissance aussi, malgré toute leur agitation dans la cite et leur acharnement médiatique, ne se lassent pas d’être la risée publique, le dindon de leurs propres farces et facéties. Ils sont les héritiers naturels et légitimes de Joseph Goebbels, le chantre de la propagande nazie qui affirme que: “Plus le mensonge est gros, plus il passe”.Nos apprentis Goebbels vassaux d’une junte, prennent pour vraies les fables qu’ils s’inventent, publient à longueur de journée dont ils veulent saturer l’espace public, convaincus, in petto, qu’en insistant, outre mesure, sur leurs montagnes de mensonges, ils en feront des vérités proclamées, qu’en s’engageant comme des forcenés à traverstir les faits accablants et désagréables pour eux, qu’en faisant de la romance politique, leur bréviaire, ils passeront de zéro à zorro, parce qu’ils savent quand même qu’ils n’arrivent pas à la cheville du héros qui les agace tant, et qui chaque fois qu’il fait la course en tête, pour ainsi dire tout le temps, leur fait perdre leur sang-foid, leur sérénité. Pour cette caste de nihilistes, la vérité à New-York dont chacun a pu être témoin vigilant et vivant, est un mensonge dans leurs esprits, obtus et discrimants. On ne peut leur reprocher cependant de vouloir faire de la politique dans le verbiage sur un accent pamphlétaire, en restant entre les quatre murs, quand d’autres, plus pragmatiques et réalistes, descendent dans l’arène et se font adouber par les électeurs dans une certaine ferveur et le naturel de la spontanéité vraie et instinctive. Ce n’est pas parce qu’on est incapable de mobiliser ou que lorsqu’on veut s’y essayer, on est conspué et se retrouve au coeur d’un lynchage populaire qu’il faille s’offusquer du bain de foule jouissif des autres ou y voir l’occasion rêvée de se triturer les méninges pour y déceler le mal en cherchant, désespérément, la petite bête. On est populaire comme le Président de l’UFDG le demeure sans conteste ou alors on est mal-aimé “recordman” comme d’autres qui lorsqu’ils apparaissent en public provoquent mécaniquement l’ire et l’indignation incontenables de tous. Les difficultés et malheurs en cascade du pouvoir et du Président sont leurs seules palmes d’or. Grâce à Dieu, l’UFDG a réussi à se débarrasser de son incendiaire converti en pyromane de la transition. Quelle chance inouïe pour Cellou dont c’était le porte-malheur avant qu’il ne soit celui d’un autre qui, lui aussi, en pâtira avant de s’en défaire. Le Général Doumbouya tient son Neron. Qui, brûlera-t-il ? Facile à deviner, non, surtout que le feu est partout dans le pays, même si la saison des pluies marque un intermède d’autres malheurs comme ces terribles inondations qui éprouvent toutes les populations ? L’homme de toutes les crises, de toutes les calamités, par lequel tous les scandales et toutes les infortunes aussi arrivent, fatalement, n’a pas fini de faire parler de lui, même loin du pays, dans son congé forcé. Question pour un bleu : Est-ce la faute de Cellou Dalein Diallo, s’il bénéficie de la confiance et de l’estime grandissantes de ses compatriotes ? Doit-il se le reprocher ou y renoncer volontairement pour que certains puissent vivre, respirer, s’épanouir, se sentir, grands, beaux et forts ? Malheureusement, pour ces jaloux furieux et éternels frustrés compulsifs, on ne peut cacher le soleil avec la main, quoi qu’on dise et fasse pour y parvenir. Tout comme personne n’a le pouvoir et ne dispose de la science qu’il faut pour réduire l’UFDG à néant, empêcher Cellou de briller de mille feux et d’accéder au pouvoir qui se fait toujours désirer, mais, finit aussi par revenir à qui le mérite et en est digne, à qui le peuple décide d’accorder sa confiance et ses suffrages. S’il n’est pas encore Président de la République, c’est parce qu’il n’a pas appelé à marcher sur le palais, ne s’est pas résolu à marcher sur des cadavres pour accomplir son destin présidentiel, ni n’a pris les armes pour destituer un régime, déposer un chef d’Etat, encore moins, il n’est tombé dans l’infamie d’appeler, publiquement à assassiner un homme, qui plus est, Président de la République, en exercice. Un pêché ? Manque de bravoure ou absence de cruauté et de cynisme politique? Le temps nous le dira, le peuple attend de trancher dans des élections que certains ont osé dire, victime de l’ivresse de leur fonction provisoire, hantée par le sang d’innocents tués pour le pouvoir, n’étaient pas une priorité ni une aspiration populaire. Seule compte leur personne, à présent, maintenant qu’ils sont arrivés à leurs fins, n’importe comment, en trahissant les leurs, en s’alienant à des forces ramant à contre-courant de l’histoire dans un mouvement destructeur. Ce sont les individus sans foi ni loi qui, pour leur cause personnelle, veulent revenir sur les acquis démocratiques et se livrer à tous les abus qui sont les ennemis du peuple, les fossoyeurs de l’Etat et de la République plutôt que le Président de l’UFDG qui, a fait don de sa personne à la Guinée afin que le pays ne subisse pas une nouvelle dictature, les Guinéens soient des citoyens, à part entière, jouissant pleinement de leurs droits et de leurs libertés. De grâce, qu’on arrête de se moquer de l’intelligence des Guinéens qui savent aujourd’hui mieux que quiconque qui veut les asservir et qui lutte au prix de la vie à les libérer des fers de la tyrannie .Au demeurant, quelqu’un qui pleurnichait à la maison centrale et pour obtenir sa libération s’est offert corps et âme pour faire le sale boulot de déstabiliser son parti et nuire à son leader, peut-il parler de courage et d’esprit de sacrifie ou de valeurs et principes à un homme qui a payé de sa chair son engagement politique notamment au stade du 28 septembre où il aurait pu perdre la vie en 2009, après avoir été roué de violents coups et traîné par terre ? Un ambitieux qui s’engage dans un pacte avec le diable pour gagner de l’argent facile et sale et obtenir une portion de pouvoir, est prêt à toutes les transgressions afin qu’il se maintienne au sommet où il se retrouve par hasard et un malheureux accident, peut parler à qui d’opportunisme, faire la leçon à qui, opposer la morale à qui ?L’on s’imagine qu’il suffit d’affirmer haut et fort le grossier mensonge pour qu’il soit entendu et considéré comme la vérité suprême ou d’inventer des histoires à dormir debout pour s’attirer les faveurs de l’opinion. Que nenni !On est si mal inspiré et de mauvaise foi qu’on manque d’imagination pour berner les gens. Aussi, veut-on accréditer la thèse douteuse que les “Nicaragua” comme ils se plaisent à les appeler seraient partis pour fuir les exactions du régime du professeur Alpha Condé alors que tout le monde sait que cette nouvelle génération de réfugiés et de demandeurs d’asile est née de la phobie du régime qu’ils ont choisi de servir, dans le déshonneur et la servitude. Ils s’en prennent à tort au professeur Alpha Condé qu’ils avaient rejoint dans l’ombre et qui leur avait promis des postes comme ils le feront demain avec le Général Doumbouya après Cellou Dalein Diallo, aujourd’hui, n’ayant de religion et de Dieu que l’argent d’où qu’il provienne, le pouvoir qui les obsède, malencontreusement. Personne d’autre n’est responsable du nouveau flux migratoire qui occasionne une fuite de cerveaux et des forces vives du pays que leurs maîtres qu’ils ne veulent pas indexer, devant lesquels ils font la genuflexion, courtisans dans l’âme, “batoulas” de vocation. Ils veulent falsifier l’histoire comme ils s’èchinent à détourner de la réalité et de leurs insuffisances et échecs. L’imposture ne passera plus, fini le temps de la délation et de la calomnie comme moyens de subsistance personnelle et tremplin politique. Plus personne n’est dupe et chacun sera rattrapé par ses actes et payera pour toutes ses trahisons.

Source : lerevelateur224.com

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