Les responsables des boutiques Bocoum Bazin ont comparu ce lundi 17 février devant le Tribunal de Première Instance de Mafanco. Poursuivis pour “trouble à l’ordre public”, Hama Bocoum, Abdoulaye Bocoum, Brahima Bassoum et Boubacar Doukouré ont dû répondre aux interrogations du ministère public sur les mesures sécuritaires prises lors de leur opération promotionnelle.
Les prévenus ont unanimement rejeté les accusations, insistant sur les dispositions mises en place pour assurer la sécurité des personnes présentes. “On a appelé les gendarmes à Lambanyi et il y avait plus de 30 gendarmes là-bas à 8h“, a affirmé Hama Bocoum à la barre, soulignant que la situation leur avait échappé.
Outre les accusations de trouble à l’ordre public, le tribunal a évoqué une potentielle violation des règles encadrant les rassemblements publics. Hama Bocoum a assumé la responsabilité de l’initiative, tout en insistant sur son ignorance quant à l’ampleur qu’allait prendre l’événement. “Pour moi, un rang allait se former et on allait procéder à la distribution simplement”, a-t-il expliqué.
Confronté aux conséquences de cette opération, il a exprimé son regret face à la tournure des événements. “Ça fait plus de 13 jours que je ne vends pas. Si j’avais su que cela allait se passer ainsi, que je me retrouverais devant le tribunal, je n’aurais jamais lancé cette promotion. Aujourd’hui, je fais face à des problèmes avec mes fournisseurs“, a-t-il déclaré devant les juges.
Le tribunal poursuit l’examen de l’affaire et devra statuer sur les responsabilités des organisateurs dans les débordements observés.
AOD (662 83 83 10)Les responsables des boutiques Bocoum Bazin ont comparu ce lundi 17 février devant le Tribunal de Première Instance de Mafanco. Poursuivis pour “trouble à l’ordre public”, Hama Bocoum, Abdoulaye Bocoum, Brahima Bassoum et Boubacar Doukouré ont dû répondre aux interrogations du ministère public sur les mesures sécuritaires prises lors de leur opération promotionnelle.
Les prévenus ont unanimement rejeté les accusations, insistant sur les dispositions mises en place pour assurer la sécurité des personnes présentes. “On a appelé les gendarmes à Lambanyi et il y avait plus de 30 gendarmes là-bas à 8h“, a affirmé Hama Bocoum à la barre, soulignant que la situation leur avait échappé.
Outre les accusations de trouble à l’ordre public, le tribunal a évoqué une potentielle violation des règles encadrant les rassemblements publics. Hama Bocoum a assumé la responsabilité de l’initiative, tout en insistant sur son ignorance quant à l’ampleur qu’allait prendre l’événement. “Pour moi, un rang allait se former et on allait procéder à la distribution simplement”, a-t-il expliqué.
Confronté aux conséquences de cette opération, il a exprimé son regret face à la tournure des événements. “Ça fait plus de 13 jours que je ne vends pas. Si j’avais su que cela allait se passer ainsi, que je me retrouverais devant le tribunal, je n’aurais jamais lancé cette promotion. Aujourd’hui, je fais face à des problèmes avec mes fournisseurs“, a-t-il déclaré devant les juges.
Le tribunal poursuit l’examen de l’affaire et devra statuer sur les responsabilités des organisateurs dans les débordements observés.
AOD (662 83 83 10)